C comme Courage (par Claire)
S’il faut du courage dans de nombreuses situations, il en est une qui retient mon attention : c’est le courage du sportif. De sa préparation à la victoire, il n’a qu’un seul objectif : gagner !! Il lui faut un courage à toute épreuve, une volonté de fer. Cou…rage. Avoir la hargne des grands champions, c’est avoir le courage de tout supporter pour atteindre l’objectif final.
Le courage dans le sport contribue à aborder d’autres situations dans la vie de tous les jours, quand des obstacles surgissent. Le sportif réagit assez vite et trouve rapidement une solution.
Le courage en général est mental, émotionnel. Celui du sportif est doté du courage physique en plus.
Le courage mental de l’athlète se met en place et se développe dans sa préparation. Il doit être déterminé à gagner, à faire preuve de force et apprendre à se dépasser. Il va s’entrainer tous les jours, à l’intérieur ou en extérieur, selon l’activité ,et qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige.
Le courage physique ; une préparation difficile, rude, éprouvante, contraignante ou il fera souffrir son corps, le poussant au maximum de ses possibilités. Cet entrainement mené de front avec sa préparation mentale lui permettra de trouver le courage et la force durant la durée de l’exploit à venir. L’athlète sera courageux face à la douleur physique que lui imposent une pratique intensive de son sport, une blessure.
Quant au courage émotionnel, notre sportif va apprendre à maitriser ses sentiments intérieurs (joies, victoires et déceptions, échecs…).
Le futur champion va donc être déterminé à gagner, à battre un record ou tout simplement à accomplir son sport à son meilleur niveau.
Ce courage évoqué dans la pratique du sport est tout bénéfice pour la vie personnelle et professionnelle de notre sportif. Il va ainsi développer une persévérance et une résistance à toute épreuve. Sa vie professionnelle sera abordée et vécue dans une sérénité particulière : il sera plus résistant à la pression de son patron, il supportera plus aisément les crises, n’hésitera pas à se lancer des challenges, de nouveaux défis, à se relever rapidement en cas de perte de son emploi. Le courage développé lors de sa préparation sportive améliore son endurance sportive bien sûr mais aussi son endurance à vivre de telles situations.
Pour finir, un clin d’œil : souvenons-nous de la danse HAKA des rugbymans All Blacks en 2007 lors du quart de finale de la coupe du monde devant l’équipe de France. Le HAKA peut tétaniser les adversaires, mais ce jour-là les joueurs français ont su faire preuve de courage, affronter les rugbymans néozélandais et… gagner avec panache cette rencontre !
Humm. La compétition de haut niveau est connue pour être déstabilisante, et on ne compte plus les anciens sportifs ayant connu des phases de dépression, des problèmes d’alcool, de drogue, voire des ennuis avec la justice…
nathalie
Ça n’a rien a voir mais ça me fait penser a mon accouchement. Depuis que je sais que je peux survivre 3 semaines sans dormir, j’ai beaucoup plus conscience de ma capacité de résilience. Je sais maintenant que la douleur physique et la fatigue peuvent être surmontés et ça me donne souvent du courage.
nanouak